Le pothos est une plante aérienne, de la famille des Aracées, originaire des forêts équatoriales d’Asie du sud-est et de Chine et notamment de sous-bois ombragés qui s’acclimate très bien dans nos maisons. Avec son feuillage panaché vert et blanc, cet arum grimpant retiendra l’attention de vos invités. Il résiste aux maladies et aux parasites. Très décoratif lorsqu’il est suspendu, il peut retomber sur 1 ou 2 mètres. Il peut également être tuteuré afin de pousser en hauteur. Il contribue à réguler le taux d’humidité favorable aux orchidées, orchidée papillon et sabot de Vénus, au vriéséa et/ou guzmania.

 Quels polluants sont absorbés par le pothos ?

  • Très efficace contre  le monoxyde de carbone dégagé par les appareils de chauffage, il absorbe également le formaldéhyde et le benzène.
  •  Dans une moindre mesure, il résorbe les vapeurs de toluène et de trichloréthylène.

De quels soins le pothos a-t-il besoin ?

C’est une plante de culture facile

  • Placez-la dans pot dont le fond est rempli de cailloux ou de billes d’argile, afin de faciliter le drainage et ainsi éviter que les racines baignent trop longtemps dans l’eau d’arrosage.
  • Utilisez un mélange  composé de terreau de fumier, de sable de rivière et de tourbe.
  • Le pothos a un besoin en lumière moyen (600 lux). I aura plus de panache en pleine lumière.
  • La température idéale se situe entre 18 et 28°C. (ne pas descendre en dessous de 13° en hiver).
  • L’arrosage : Arrosage modéré, notamment en hiver. Laissez sécher la terre entre deux arrosages.
  • Nettoyez régulièrement le feuillage, douchez-le de temps en temps.
  • Une bonne taille va rajeunir votre plante. Rabattez les longues lianes qui se dégarnissent à sa base. De jeunes pousses vont croître à l’aisselle des feuilles. Repiquez les tiges coupées soit dans un nouveau pot, soit au pied de votre pothos afin d’étoffer la plante.

Pothos

Où placer mon pothos ?

C’est dans le salon, la salle à manger que le pothos trouvera sa place.

> en savoir plus sur le rôle des plantes dépolluantes: la « phytoremédiation »

 

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