Eviter les traitements
- Savez-vous que 5000 tonnes de pesticides étaient utilisées par les 17 millions de jardiniers amateurs ! A eux seuls, ces derniers utilisent 7 à 8% des pesticides ! Un chiffres effarant, alors que le potager permet justement d’employer des méthodes naturelles, sans produit chimique, et donc de manger et faire manger à ses enfants et petits-enfants des légumes en toute quiétude. Cette alternative aux pesticides s’appelle la lutte biologique. On peut désherber ses allées à la main (ou avec de l’eau bouillante), utiliser des couvre-sol pour éviter la prolifération des mauvaises herbes: foin, paillis divers, écorces, plantes comme la moutarde ou la phacélie, ramasser les doryphores sur les pommes de terre et les aubergines…
- Les planches placées entre les rangs de légumes jouent plusieurs rôles: elles limitent le tassement de la terre lors du passage du jardinier, limitent l’évaporation, servent de refuges pour les limaces, ces ennemis du jardinier. Il suffit de les « cueillir » et d’en faire profiter les poules.
Qu’est-ce que la lutte biologique ?
C’est tout simplement l’utilisation d’animaux ou de plantes comme alliés pour protéger une plante.
Quels sont les principaux ennemis au jardin ?
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Les ravageurs
- Les pucerons divers (verts, noirs, lanigères des racines sévissent du printemps jusqu’à l’automne sur les betteraves, les choux, les épinards, les laitues, les pois, les poivrons, les pommes de terre, les tomates, les bettes et les cardons.
- les limaces et les escargots dévastent les cultures au printemps et à l’automne, choux, salades, fraisiers, salades, radis. Se poster près des zones refuges à la tombée de la nuit donne lieu à un spectacle hallucinant, où, telle une légion, des cohortes de limaces partent à l’assaut du jardin… Accueillir des crapauds permet de contenir ces assaillants.
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Les maladies
- L’oïdium:
- Le mildiou:
- Pour lutter contre cette maladie, utilisez le bicarbonate de soude
- Vous pouvez également utiliser la prêle des champs:
- 200 g de plantes fraîches à faites chauffer dans 2 l d’eau de pluie.
- Une fois l’ébullition atteinte, laissez infuser 30 minutes environ.
- Rajoutez 3 l d’eau de pluie et pulvériser sur l’ensemble des cultures.
- Reproduisez ce traitement 2 fois par mois à partir de mai en pulvérisation.
Les animaux auxiliaires de vie … du jardinier !
Dans la lutte contre les envahisseurs, les coccinelles et les chrysopes ont gagné leurs galons. Elles pondent leurs œufs près des colonies de pucerons, qui serviront de nourriture pour leurs larves.
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La coccinelle
« Cherche jardinier offrant le gîte et le couvert. Propose en échange coup de main pour débarrasser son jardin des pucerons et autres suceurs de sève ». Figure emblématique du jardinage bio, la coccinelle ne demande qu’à vous rendre service pourvu que vous la chouchoutiez. Qu’elle ait deux, sept ou quatorze points, la coccinelle raffole des pucerons. Larves et adultes sont d’ailleurs tout autant efficaces. Les larves de la coccinelle rouge à 7 points consomment environ 600 pucerons tout au long de leur croissance ! Deux à quatre générations se développent tout au long de l’année, selon les espèces et selon les régions. Les coccinelles adultes se mettent dès l’été en vie ralentie, hibernent à côté des cultures, ou trouvent refuge dans les habitations, dans des fissures autour des fenêtres ou des murs. Pour favoriser leur présence, cultivez une parcelle d’orties qui offrira gîte et couvert, installez des plantes pérennes qui leur serviront d’abri et laissez sur place débris de plantes, tiges creuses, amas de feuilles.
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La chrysope
est surnommée, à juste titre le « lion des pucerons » .
Avec leurs yeux cuivrés luisants, leur deuxième surnom est celui de « mouches aux yeux d’or » ou « demoiselle aux yeux d’or » pour la chrysope verte. Les chrysopes font partie de l’ordre des névroptères. Leurs ailes longues et délicates possèdent de nombreuses nervures sinueuses sur fond translucide bleuâtre, verdâtre ou jaunâtre. Les antennes sont longues et mobiles. Leur envergure peut atteindre 20 à 28 mm et les adultes ont une longueur allant de 10 à 15 mm.
Plantez bourrache, capucine, aneth, carotte sauvage ou encore fenouil, fréquentés par les chrysopes pour se nourrir ou pondre.
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Faut-il encore présenter l’abeille, cette extraordinaire pollinisatrice ?
La présence d’abeilles dans votre jardin est un signe de bonne santé de ce dernier. Dans les régions tempérées, elle assure à elle seule jusqu’à 85 % de la pollinisation des plantes à fleurs. Cela s’explique par son adaptation poussée à la récolte de pollen, qui lui sert à nourrir ses larves. Avec ses poils branchus, ses peignes et ses corbeilles, tout son corps et son comportement ont évolué dans ce but précis. Avec l’évolution du climat, elle a tendance à se réveiller tôt en fin d’hiver, pour partir en quête de nourriture. Or le jardin est souvent désespérément vide à cette saison.
Pour l’aider à attendre les floraisons abondantes, vous pouvez lui donner un coup de pouce en installant chez vous des vivaces et des arbustes à floraison précoce : le cornouiller mâle (Cornus mas), qui fleurit abondamment en brouillard jaune clair, le mahonia, les chèvrefeuilles d’hiver et les bruyères et bien sûr la bourrache. Ce sont quelques gestes pour protéger les abeilles.
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Reconnaissable à son derrière tout blanc, le bourdon terrestre.
C’est l’un des plus communs du jardin et l’un des plus précoces.
Alors que les abeilles hésitent au printemps à sortir par temps froid et gris, la femelle s’aventure dès la fin février à la recherche des rares fleurs déjà ouvertes : chatons de saule, prunellier, lamier pourpre, pissenlit, pulmonaire… Besogneuse toujours active, cette future reine est en quête d’un trou dans le sol ou sous le plancher de la cabane du jardin, pour y fonder une nouvelle colonie, qui atteindra en été 400 à 500 bourdons. Nourrir ce petit monde nécessite d’incessantes allées et venues vers les fleurs de framboisier, fraisier, tomate, aubergine, pois et tant d’autres fleurs sauvages et cultivées des haies, pelouses et massifs… Sans ces insectes la production potagère chuterait dramatiquement.
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Même les guêpes sont utiles au jardin,
malgré leur mauvaise réputation.
Pourtant, la grande majorité des espèces de cette famille est parfaitement pacifique. Au jardin, leur présence est bénéfique : une guêpe solitaire peut capturer jusqu’à la modeste quantité de 1 500 pucerons durant les quelques semaines de sa vie, tandis qu’une guêpe sociale (celles que l’on voit le plus souvent) mange en moyenne 1 000 mouches et 1 000 chenilles ! Pour les attirer, semez du fenouil.
- Le perce-oreille
C’est un fameux auxiliaire, consommateur de pucerons et de psylles
On peut toutefois lui reprocher d’aimer les fruits bien mûrs (presque pourrissants), et il est malvenu dans les pêchers, les abricotiers ou les pruniers. Installez des pots de fleurs retournés, remplis de paille, dans les arbres à noyaux, avant la maturité des fruits. S’ils sont occupés par des perce-oreilles, transférez-les sur les pommiers ou toute autre plante parasitée par les pucerons. Ils assumeront avec plaisir ce changement de poste !
- Les carabes sont des insectes carnassiers capables de trouver et de dévorer les larves du balanin des noisettes, enfouies dans le sol.
Au verger, tout comme dans le jardin potager, on les aime beaucoup car ils mangent aussi pas mal de chenilles du carpocapse des pommes et des poires quand elles descendent dans le tapis herbacé pour leur nymphose (transformation d’une larve en nymphe.) Aussi, pour favoriser les carabes, conservez les vieilles souches sous lesquelles ils aiment hiberner. Vous pouvez même placer une souche un peu pourrie, partiellement enterrée, dans un coin du jardin. Elle intéressera de nombreux locataires ! ou encore construisez un hôtel à insectes.
- Le syrphe est un des plus beaux exemples de prédateurs des ravageurs au jardin.
- Il ressemble à une guêpe, il vole vite comme une guêpe – sauf qu’il adore faire du sur-place au dessus d’une fleur et changer brusquement de direction –, mais ce n’est pas une guêpe. C’est une mouche, butineuse et pollinisatrice au stade adulte.
- Ce petit insecte apparaît dès les premiers beaux jours.
- Ses larves sont des asticots, carnassiers boulimiques qui consomment du printemps à l’automne toutes sortes de pucerons par centaines, notamment ceux que les coccinelles délaissent, comme le puceron cendré du chou.
- La plupart des espèces hivernent cachées sous les paillis et les plantes basses qui couvrent le sol, d’autres sous forme de pupe, sorte de larve immobile accrochée à une feuille ou une tige.
- Les adultes réapparaissent dans le jardin dès les premiers beaux jours. Si le pollen et le nectar abondent, ils pondent de nombreux œufs dont sortent les larves prédatrices. Plusieurs générations se suivent jusqu’en octobre, avec une apogée en été.
- Pour les attirer, il faut des fleurs en fin d’hiver, au printemps, en été et jusqu’en automne, notamment celles obtenues par la culture d’engrais verts. Je tiens toujours à leur disposition de la bourrache.
Offrir le couvert aux syrphes est une bonne chose, leur proposer le gîte en est une autre: couvrez la terre et laissez le plus de débris végétaux possible.
- Très discrète malgré sa taille impressionnante, la sauterelle verte fréquente le jardin au cours de l’été. Il n’est pas rare de la surprendre sur les légumes du potager, à la recherche de petites proies car elle est principalement carnivore.
Cette prédatrice sera un renfort de choix aux côtés des coccinelles et des syrphes. Dotée d’une mâchoire puissante , elle s’attaque aux larves de doryphore et de chenilles. Les sauterelles se distinguent des criquets par leurs longues antennes. Les femelles sont munies d’un long « sabre » à l’extrémité de leur abdomen. A la fin de l’été, juste avant de mourir, elle s’en serviront pour pondre leurs œufs dans la terre. Une bonne raison pour ne pas travailler la terre là où ce n’est pas nécessaire et protéger ainsi leur descendance.
- En plus des insectes, il existe un mammifère bien utile pour le jardinier, le hérisson.
De mars à novembre, il sort la nuit à la recherche de nourriture. Dans la journée, il dort dans un nid, situé au creux d’un arbre, sous un tas de feuilles ou de bois. Dès le mois de novembre, quand la nourriture se raréfie, il se met à hiberner, roulé en boule dans un nid douillet, protégé par les branchages. En se nourrissant de limaces, escargots,vers, larves d’insectes, le hérisson est un allié inestimable pour le jardinier. Invitez-le dans votre jardin en lui consacrant un endroit sauvage, sous une haie par exemple, avec un abri fabriqué avec une caisse en bois protégée par un plastique, dans laquelle vous aurez placé de la paille et de branchages. En hiver, vous pouvez lui déposer de la nourriture, de la pâtée pour chien ou chat mais pas de lait. Si vous souhaitez adopter ce petit mammifère, préférez les méthodes de culture biologique, et évitez les granulés anti-limaces ou la bière, car les hérissons attirés par l’odeur, lapent ce breuvage. Ivres morts, ils tombent sur le flanc, perdant le réflexe salutaire de se mettre en boule. Les pies, les corbeaux, les renards… n’en font qu’une bouchée.
- Enfin, dans la lutte biologique, ne sous-estimons pas l’araignée, qui débarrasse le jardinier de bons nombres d’indésirables. Retrouvons ces derniers dans l’article: « Plaidoyer pour l’araignée ».
Un sol riche garant d’une bonne santé des plantes
Il faut s’assurer que le sol est riche pour que vos plantes soient vigoureuses, en bonne santé. C’est une loi de la nature: on s’attaque d’abord aux faibles ! Pour enrichir votre sol, vous avez un allié invisible le ver de terre: il digère les différents végétaux et ses déjections forment un bon engrais pour les plantes. Il aère votre sol. L’hiver, les vers de terre s’enterrent davantage.
C’est à cette période de l’année qu’il faut effectuer un bêchage à grosses mottes à l’aide d’une bêche, d’une fourche bêche, la triandine. On peut influer sur leur remontée en augmentant la chaleur de la terre. Pour cela, il faut recouvrir le sol avec des feuilles mortes ou un plastique.
Deux mesures de prévention:
- En automne et en hiver, enlevez les plantes susceptibles de contenir des maladies comme la tomate ou le tournesol. N’enfouissez pas les fanes, ne les compostez surtout pas. Autrefois on pouvait les brûler tout comme les branches des arbres que l’on avait taillés: on détruisait ainsi toute la « vermine ». Actuellement, il faut les porter à la déchetterie. Certaines déchetteries proposent un compost gratuit ou des déchets verts broyés qui risquent de contenir bon nombre de maladies. C’est une fausse économie !
- Au printemps, enlevez les paillages et binez le sol pour détruire les œufs des indésirables.
Les plantes apportent également une aide précieuse.
- Les purins peuvent apporter une aide précieuse. (une mention particulière aux purins de prêle, et consoude ou d’ortie.)
- Vous pouvez joindre l’utile à l’agréable en semant une prairie fleurie.
- Semez ou plantez des plantes amies. Grâce à des associations favorables de plantes potagères, le combat contre les indésirables est facilité.
- Soit elles attirent un allié, la valériane attire et stimule les vers de terre, la bourrache attire les abeilles, l’aneth attire les mouches friandes de pucerons.
- Soit elles éloignent les ennemis: les pucerons sont repoussés par l’odeur de l’ail, de la ciboulette, de la sarriette et de l’œillet d’Inde, de la coriandre.
- Quant aux capucines, à la poisette et aux chénopodes et même l’ambroisie (dans sa jeunesse !),
ils détournent les pucerons des plantes en les attirant vers eux. L’angélique attire irrésistiblement les pucerons, ce qui épargne efficacement les plantes cultivées à proximité. Les coccinelles peuvent alors rentrer en action.
Retrouvez les vertus de 15 plantes aromatiques
Voici un tableau des plantes répulsives.
#1 par Waknine Brigitte à 29 août 2016 - 10 h 28 min
Citation
Bonjour, j’ ai lu avec attention votre article. J’ ai quand même une question: je cultive un potager en pot sur balcon, mes plants sont envahis de chenilles qui font beaucoup de dégâts!! J’ ai acheté un traitement bio, que je n’ ai pas utilisé, peur pour les insectes qui butinent les fleurs! Dans un autre article vous conseillez du véritable savon de Marseille en dilution, pourriez vous me donner le dosage, est ce un produit ménager ou seulement à usage du jardin? Merci beaucoup pour votre réponse.
#2 par JPP à 30 août 2016 - 3 h 18 min
Citation
Bonjour Brigitte,
Vous pouvez sans risques pour la faune environnant utiliser un traitement bio contre les chenilles.
Vous pouvez aussi leur passer un bon savon ! J’ai écrit « Une invasion de chenilles sur vos choux ? Voici une solution naturelle et efficace.Mélangez de l’eau et du véritable savon de Marseille.Laissez reposer ce mélange pendant 2 ou 3 jours.Arrosez les choux avec ce mélange, en répétant l’opération tous les 15 jours. » De fait, je râpe de vieux bouts de savon de Marseille afin d’obtenir une petite poignée de copeaux que je mets dans 2 litres d’eau environ. Les chenilles ingèrent ce produit qui recouvrent les feuilles et crèvent. Bon jardinage. Cordialement? Jean-Paul
#3 par Odile Roehrig à 15 novembre 2014 - 9 h 58 min
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Je souhaiterai avoir des conseils pour protéger le potager en hiver : pour l’instant j’y étalais des feuilles du verger ou arbres d’ornement.
#4 par JPP à 21 novembre 2014 - 6 h 27 min
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Bonjour Odile,
Les grands froids ne sont pas encore arrivés. C’est une bonne idée de mettre des feuilles mortes. Pour les plantes plus craintives, vous pouvez soit les rentrer (si cela est possible), soit placer un voile d’hivernage. Bon jardinage! Jean-Paul
#5 par Dominique et Joël à 26 juillet 2014 - 9 h 48 min
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En Charente, depuis deux ans,les poireaux sont détruits par la mineuse, larve d’une mouche.Avez-vous des astuces pour éloigner cet insecte?
(rencontre dans le Lot le 23 juin dernier)
#6 par JPP à 28 juillet 2014 - 7 h 50 min
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Il est très difficile de traiter le poireau, ses feuilles étant très enroulées les unes sur les autres.
Bonjour Dominique et Joël
Rassurez-vous, il n’y a pas qu’en Charente que ma mineuse sévit. Chez nous aussi, il devient difficile d’avoir des poireaux. La seule solution est de placer sur des cerceaux un filet anti-insectes pour empêcher la mouche d’approcher les légumes et d’y pondre. (J’essaie cette année!) Bon jardinage! Jean-Paul
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#7 par saul Gracia à 18 décembre 2013 - 18 h 47 min
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j’aimerais trouver de l’aide pour mieux savoir comment planter les piments et les poivrons! merci!!!
#8 par JPP à 15 février 2014 - 11 h 26 min
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Bonjour. Vous trouverez quelques conseils sur les piments et les poivrons dans un article de mon blog. Merci de l’attention que vous nous portez.
#9 par Guillot à 10 juin 2013 - 16 h 24 min
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Bonjour,
J’ai des vers fils de fer dans mon jardin, que puis-je faire ??? Y-a-t-il des produits efficace, car de la salade elle est aussitôt dévoré par cette bestiole, les plants de tomates j’en aie remplacé beaucoups et les carottes pas la peine d’en semer !!!. Merci pour votre réponse
#10 par JPP à 14 juin 2013 - 13 h 13 min
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Bonjour, Il n’est pas facile de se débarrasser de ces indésirables. Bien sûr, vous pouvez utiliser un insecticide radical mais guère écologique. Vous pouvez piéger vos hôtes indésirables avec des rondelles de pommes de terre ou de carottes que vous disposez dans le sol, entre vos rangs de salades par exemple. Tous les deux ou trois jours, vous détruisez. Recommencez cette opération jusqu’à ce que le sol soit libéré!
Pour éloigner ces indésirables, vous pouvez également arroser avec du purin de fougère dilué dans de l’eau (10%). Dans l’hiver, vous pouvez faire un apport de chaux ou de magnésie soufrée. Enfin pensez l’an prochain à la rotation des cultures. Bon jardinage (ne vous découragez pas!) Jean-Paul
#11 par marierose61 à 20 septembre 2012 - 9 h 17 min
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bonjour voila je viens de m appercevoir en bechant qu il y avait un genre de chenille epaisse et grise dans la terre il faut dire que j avais à cet endroit seme des navets qui d ailleurs non pas été trés productifs car ils non pas grossi et surtout ils etaient pour la plus part vereux que doit je mettre dans ce carré de terre comme traitement à savoir j ai mis un peu de cendres histoire de l assouplir un peu merci beaucoup pourvotre reponse
#12 par ALARIO DE CARDENAS à 22 avril 2011 - 11 h 41 min
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Coucou , on ne peut pas lire la troisième colonne très importante ?
#13 par JPP à 26 avril 2011 - 5 h 19 min
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Merci pour cette bonne remarque. Je vais effectuer la modification nécessaire. A bientôt.